PRESSE

Dans un premier temps, l’incrédulité.

Non mais les gars, sur le papier, votre truc, c’est quand même n’importe quoi. Un mélange de punk, d’électro, de jazz manouche et de soundtracks de jeu vidéo ? Et pourquoi pas DU ZOUK, tant que vous y êtes ? Puis l’écoute. Les pièces d’un puzzle abstrait s’emboîtent lascivement les unes aux autres et finissent par dessiner les contours d’une création musicale qui fait sens. Oui, non seulement ces sonorités hétéroclites peuvent fusionner, mais quelque part, elles le doivent. On ne peut plus faire comme si on n’avait pas entendu leur union contre-nature, faire comme s’il ne s’était rien passé. Il existe un avant et un après Sushi Bondage.

Bienvenue dans un univers où la série B est enfin élevée au rang des Beaux-Arts, où les nolife, nerds et autres geeks sont des prophètes.

Laissez le sextet s’emparer de vos sens, ces gens-là vous veulent du bien.

– La Bobine